par Florence Guernalec
Apocalyipstick
« Il y a un avant et un après : quand on ouvre le tableau, il y a ce qui reste, ce qui renaît. Dans l’Apocalypse, il y a l’idée de la renaissance… », explique Fabrice Hyber à propos de cette expo à l’émission Les Midis de Culture (France Culture). Comme des tableaux d’école, plusieurs peintures forment des diptyques ou triptyques qui s’ouvrent et se ferment (oil, charcoal and epoxy resin on canvas).

Le titre de l’expo Apocalyipstick est aussi un hommage à une chanson de Jane Birkin et un clin d’œil à sa première œuvre Le mètre carré de rouge à lèvres (1981), tableau monochrome rouge réalisé avec des tubes de rouge à lèvres.


« Les esquisses peuvent faire penser à des dessins de philosophe ou de mathématicien » et constituent une sorte de « paysage mental »
(Les Midis de Culture , France Culture, juin 2025)


« J’essaie de faire en sorte que les œuvres soient simples, un peu comme des dessins d’enfants pour qu’on puisse y accéder très facilement… »
(Les Midis de Culture, France Culture, juin 2025)

Apocalyipstick
Du 27 mai au 26 juillet 2025
Galerie Nathalie Obadia
91 rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris 8e

Les tableaux s’inspirent des même paysages que ceux de « l’exposition-école », La vallée, présentée à la Fondation Cartier fin 2022. Les différents espaces étaient conçus comme des salles de classe pour accueillir des élèves et leur apprendre les interactions entre les différents éléments – arbres, forêt, corps humain, sport, digestion, météo, migration, génétique, énergie, formes, hybridation…
(crédit photos de l’expo : courtesy de l’artiste et de la galerie Nathalie Obadia Paris / Bruxelles – photo de Fabrice Hyber : © Franck Dubray)