“Le goût de la cerise” d’Abbas Kiarostami est construit comme un road-movie dans les environs de Téhéran. Un homme veut mettre fin à ses jours et cherche une personne pour l’aider. Dans cette séquence-clé du film, son passager lui donne une leçon philosophique où il est question de mûres et de doigt cassé… Savoureux.