Figure de la musique populaire brésilienne, Caetano Veloso a déjà plus de trente ans de carrière quand il sort l’élégant “Noites do Norte”. Une balade enchantée portée par la grâce de sa voix.

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Ce concert solo de Keith Jarrett est devenu l’album culte “The Köln Concert”. Frustré par les conditions de la représentation, l’Américain se lance dans une improvisation. Un retour aux sources du jazz.

Hubert Mounier (Cleet Boris) s’est fait connaître avec le groupe L’affaire Louis’ Trio. A la fois auteur de BD, musicien et chanteur, il signe ensuite en solo les albums de la maturité, plus doux et désenchantés, comme “Le Grand huit” arrangé et produit par Benjamin Biolay.

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L’album “Le grand huit” n’est pas disponible sur les plates-formes de streaming.

Elle a la voix et l’épaisseur pour écrire des chansons à fleur de peau. Fiona Apple fait aussi partie de ces artistes qu’il faut avoir vu sur scène pour prendre toute la mesure de son tempérament.

Thomas Fersen distille, de sa voix rocailleuse, son imaginaire extravagant. L’auteur-compositeur joue avec la langue comme s’il était un petit cousin de Desnos et Prévert dont il mettra en musique “Pour toi mon amour”.

Shirley Bassey fait partie des “chanteuses à voix” qui traversent les époques, de Burt Bacharach aux Propellerheads pour le morceau “History Repeating”. Elle s’est notamment taillée une réputation avec ses interprétations de plusieurs chansons des James Bond servies par la musique de John Barry.

Derrière ce nom improbable, Prefab Sprout, se cachent Paddy McAloon, auteur-compositeur-interprète d’une pop anglaise délicate et Thomas Dolby, producteur des meilleurs albums du groupe.

Inutile d’être un amateur de jazz pour aimer Michel Petrucciani. Dans ce concert, le pianiste joue ses propres compositions à l’exception de Miles Davis(“So What”, 28mn43’) et Billy Strayhorn (“Take the A Train”, 42mn).

Un trio d’artistes solo – Neko Case, kd lang et Laura Veirs – réunies pour un album et une série de concerts folk à écouter allongé sur son canapé..

Débarquée dans la chanson lorsqu’elle avait “à peine 21”, la môme Jil Caplan impose dès son premier opus une voix très riche et une personnalité. Aux manettes, un virtuose qui jongle avec les ambiances : Jay Alanski. 

Site officiel de Jil Caplan