La patte du Douanier Rousseau 5/5 (1)

Ma première rencontre avec Le Douanier Rousseau remonte au collège. La couverture de mon livre de Français était illustrée par “Le rêve” (ou du moins une version “expurgée” sans la dame déshabillée sur le canapé). Son art naïf était la seule échappatoire aux murs gris et au tableau noir de l’école…

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Les inspirations de Joan Mitchell 5/5 (1)

“Je peins à partir de souvenirs de paysages que je porte en moi et des sentiments qu’ils me laissent, et que bien entendu, je transfigure. Je ne pourrais certainement jamais refléter la nature. Je préfère davantage peindre ce qu’elle m’inspire”, expliquait Joan Mitchell, figure du mouvement expressionniste abstrait.

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Amadou Sanogo conteur

Amadou Sanogo a illustré des proverbes maliens pour l’exposition “De paroles en paraboles, on se sert” présentée à Rennes en 2020. Le tableau “La malédiction pousse la volaille à se transformer en vendeur de couteaux” illustre son style composé de motifs répétitifs et aplats de couleur.

Cliquer sur l’image pour regarder la vidéo consacrée à l’exposition

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L’abstraction maîtrisée d’Hartung

L’inspiration “doit venir de l’intérieur sans influence de l’extérieur”, estimait Hans Hartung.

Cliquer sur l’image pour regarder la vidéo “Hans Hartung, la fabrique du geste”

“Je ne crois pas avoir un tempérament de glace, mais j’ai toujours préféré les couleurs froides : le bleu, le vert turquoise très clair, le jaune citron, le brun foncé presque noir ou tirant sur le vert. Je trouve que plus les couleurs froides sont pures, mieux on y respire. Le jaune a quelque chose de claironnant, de vibrant, de sonore. Le vert est plus retenu, plus atmosphérique, plus aquatique…” Hans Hartung

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Sam Francis joue avec le spectateur 5/5 (1)

Sam Francis fut notamment associé au courant de l’action painting de l’après-guerre. Moins connu que Jackson Pollock, le peintre américain compose des toiles qui semblent tout devoir au hasard…

“Les peintures sont seulement des suggestions pour que les gens s’en servent… La plus belle définition de l’art que je connaisse est celle de Shakespeare dans l’épilogue de Prospero, à la fin de « La Tempête »… Il a à voir avec la signification de ce que l’œuvre d’art est vraiment, il dit comment l’artiste doit l’abandonner – abandonner son art, abandonner sa magie, abandonner tout – et laisser le public ou la personne qui arrive par hasard, celle qui se trouve passer par là, achever l’œuvre à sa place.” Sam Francis

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